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1309. Capacité d’adaptation des exploitations d’élevage

Bovins laitiers | Capacité d’adaptation | Conduite d’élevage | Traite

Allongement de l’intervalle entre traites : identification de 1ers phénotypes prédicteurs

FISCHER A. (1), PATTIER S. (1), DISENHAUS C. (2), LARROQUE H. (3), GUINARD-FLAMENT J. (2)

(1) Agrocampus-Ouest, 35000 Rennes, France

(2) INRA/Agrocampus-Ouest, UMR 1348 Pegase, 35590 St-Gilles, France

(3) INRA, UR 631 SAGA, 31320 Castanet-Tolosan, France

INTRODUCTION

L’allongement de l’intervalle entre traites peut répondre aux
attentes des éleveurs laitiers qui doivent faire face à une
faible disponibilité en main d’oeuvre en lien avec un travail
d’astreinte conséquent (Pomiès et al., 2008). Cette pratique
lorsqu’elle est poussée à l’extrême (24h d’intervalle entre
traites) provoque des baisses de production laitière telles,
que son développement dans les élevages repose sur
l’identification d’individus adaptés, basée sur la mesure
précoce de phénotypes prédicteurs. Alors que l’hypothèse
d’une régulation mécanique de la production laitière en
réponse à cet allongement de l’intervalle entre traites
prédomine dans la littérature, aucun phénotype à valeur
prédictive de ce type n’a été mis en évidence jusqu’à
maintenant. La présente étude a pour objectif d’identifier des
premiers phénotypes issus de cette régulation mécanique.
Les vaches laitières s’adaptant dès le 1er jour à l’allongement
de l’intervalle entre traites, l’étude consiste à décrire la
réponse des animaux en utilisant un intervalle unique de 24h.

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