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2212. Reproduction

Caprins | Photopériode | Reproduction

Caractérisation de la part de rayonnement lumineux utile aux traitements photopériodiques et à la sécrétion de mélatonine chez les caprins

FATET A. (1), BORDERES F. (1), ROY E. (2), BOISSARD K. (1), FRERET S. (3), LAINÉ A.L. (3), CAMELIO S. (4), CHAILLOU E. (3), DARDENTE H. (3), COMBES D. (2), PELLICER-RUBIO M.T. (3)

(1) INRAE, UE1373 FERLUS, Les Verrines, 86600, Lusignan, France
(2) INRAE, UR4 URP3F, Le Chêne, 86600, Lusignan, France
(3) INRAE, UMR85 PRC, 37380, Nouzilly, France
(4) ENSI Poitiers, 1 Rue Marcel Doré, 86000 Poitiers, France

INTRODUCTION

La reproduction des caprins est dite « saisonnée », elle alterne des périodes de repos sexuel et d’activité sexuelle selon la durée du jour. Les traitements lumineux de désaisonnement permettent le pilotage de la saisonnalité des chèvres (Chemineau et al., 1988) et le maintien de l’activité sexuelle des boucs à l’année (Delgadillo et al., 1991). Bien qu’il soit recommandé (GRC, 2012) d’apporter 200 lux à hauteur des yeux des animaux pour le désaisonnement lumineux en élevage ou en centre d’insémination, ce n’est pas l’intensité seule mais aussi la gamme de longueurs d’ondes reçue qui jouent un rôle sur la sécrétion de mélatonine. Il est donc important de caractériser la part utile du spectre lumineux pour les traitements photopériodiques utilisés en élevage caprin, de façon à améliorer les recommandations d’éclairage (gamme du spectre x intensité minimale) et éventuellement réduire les coûts. L’objectif de cette étude était de comparer l’effet de différentes gammes de longueurs d’onde du spectre lumineux visible à différentes intensités sur la sécrétion de mélatonine et le stress éventuellement causé (cortisol) chez le bouc.

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