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0307. Santé et stratégies sanitaires

Ruminants (général) | Santé animale

Densité de tiques et portage bactérien en milieux naturels et urbains.

G. VOURC’H (1), L. HALOS (2), M. VAYSSIER-TAUSSAT (2), J. BARNOUIN (1), H.-J. BOULOUIS (2)

(1) Unité d’Epidémiologie Animale, INRA, 63122 Saint-Genès Champanelle

(2) UMR Biologie moléculaire et Immunologie PARasitaires et fongiques (BIPAR), INRA-AFSSA-ENVA, 94700 Maisons-Alfort

INTRODUCTION

Les méthodes classiques de mise en évidence de bactéries dans les tiques nécessitent de connaître a priori les espèces recherchées. Ceci représente une limite importante dans l’étude des émergences lorsqu’on veut pouvoir détecter des bactéries non attendues. Dans ce cadre, l’utilisation d’une technique multi-spécifique de détection des bactéries dans les tiques, la PCR-TGGE (Temperature Gradient Gel Electrophoresis), procure l’avantage d’étudier le portage bactérien sans a priori sur les espèces recherchées (Halos 2002). Afin d’estimer le portage de bactéries pathogènes par les tiques en relation avec les risques pour l’Homme, nous avons récolté des tiques (nymphes et adultes), que nous avons analysées en PCR-TGGE, dans trois milieux : les pâturages bovins, les forêts avoisinantes et les parcs urbains et de loisirs. Nous avons mis au point cette méthode dans les Combrailles (63), zone où des cas de piroplasmose bovine ont été signalés par les vétérinaires (pré-enquête téléphonique en 2003) et des études chez l’Homme ont montré des sérologies positives pour la maladie de Lyme (Arzouni 1990).

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