Intérêt de la teneur en constituants cytoplasmiques et de la qualité des parois pour discriminer des hybrides de maïs, sur la base de leur valeur énergétique en plante entière.

J. COLLOMBIER (1), J. ANDRIEU (2), M. JESTIN (2), G. BOULCH (3), J.L. LAFFONT (3)

Pioneer Semences, chemin de l’Enseigure, 31840 Aussonne ; jean.collombier@pioneer.com

INRA, Unité de Recherches sur les Herbivores, Theix, 63122 Saint-Genès-Champanelle

Pioneer Génétique, chemin de I’Enseigure, 31840 Aussonne

INTRODUCTION

La valeur énergétique de l’ensilage de maïs plante entière exprimée en Unité Fourragère Lait (UFL), ou Viande (UFV), peut être considérée comme la somme de l’énergie fournie par les constituants cytoplasmiques (CC) et par la fraction digestible des parois. Les critères chimiques quantitatifs permettent d’évaluer la contribution énergétique de CC, dont la digestibilité réelle est voisine de 100 %. La contribution des parois est le produit de leur teneur par leur digestibilité in vivo. Pour prévoir cette dernière, l’INRA a proposé 2 critères formulés à partir de la digestibilité enzymatique de la plante entière : DINAG (digestibilité calculée de la partie non-amidon non-glucides
solubles) plus approprié à la sélection, et DEPAR (digestibilité calculée des parois totales) qui a une signification plus affirmée en nutrition des ruminants (Andrieu et Baumont, 2000). L’objectif de ce travail est d’évaluer l’intérêt nutritionnel (par l’utilisation de DEPAR) d’hybrides de maïs, notamment nouveaux, selon une représentation graphique qui prend en compte les contributions énergétiques de CC et de la fraction digestible des parois (système Bi-Energie).

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Alimentation | Ensilage | Ruminants (général)

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4 et 5 décembre 2024 – Centre des Congrès Paris La Villette27ème édition Congrès international francophone

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Intérêt de la teneur en constituants cytoplasmiques et de la qualité des parois pour discriminer des hybrides de maïs, sur la base de leur valeur énergétique en plante entière.

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Possibilités et limites de la substitution du tourteau de soja par des graines protéagineuses ou de l’azote non protéique dans l’alimentation des ruminants.

Facteurs de variation de la teneur en MAT du maïs fourrage à la récolte.

La nutrition protéique modifie l’ingestion des vaches laitières : analyse bibliographique.

Teneur en éléments minéraux de l’herbe pâturée par les vaches laitières.

Utilisation de la thermographie infrarouge pour visualiser les détériorations à l’air de l’ensilage de maïs et l’efficacité d’un agent microbiologique d’ensilage.

Sources protéiques végétales alternatives au tourteau de soja pour l’alimentation des vaches laitières.

Evolution de la teneur en urée du lait dans quatorze fermes pilotes de Wallonie.

Estimation de la quantité d’azote urinaire excrétée par des vaches laitières en production.

Concentrations plasmatiques basales de méthionine chez la vache laitière : variations au cours d’un nycthémère.

Effet de l’incorporation de luzerne déshydratée dans des rations complètes à base d’ensilage de maïs et d’ensilage d’herbe pour vaches laitières.

L’eau de surface du ray-grass anglais joue-t-elle un rôle dans la régulation de l’ingestion chez la vache laitière ?

Effet de la modification du rapport acides gras omega-3/omega-6 dans le régime de vaches laitières sur la composition en acides gras du lait et la croissance folliculaire ovarienne.

Alimentation du couple vache-veau de race Parda – 1 – Effets sur les performances zootechniques du veau en croissance puis à l’engrais

Alimentation du couple vache-veau de race Parda – 2 – Effets sur le développement et le métabolisme du tissu adipeux au cours de l’engraissement.

Les niveaux de LysDI couramment rencontrés en France ne modifient pas la réponse à une augmentation des teneurs en MetDI de la ration de vaches laitières.

Ingestion de foin par des vaches Charolaises selon leur état d’engraissement.

Prévision de l’ingestion d’une ration à base de foin par des génisses et vaches allaitantes.

Effet du niveau de complémentation azotée pour l’engraissement de vaches de réforme de race Blonde d’Aquitaine.

Liaisons organiques de zinc dans l’alimentation du bovin à l’engrais.

Désynchronisation des apports énergétiques et azotés et paramètres de la digestion et du métabolisme azoté chez le taurillon Blanc Bleu Belge culard.

Influence de la nature des protéines alimentaires sur les pertes de protéines endogènes idéales chez le veau de boucherie.

Influence d’un apport de luzerne déshydratée en fin de gestation sur les performances de production laitière de brebis traites.

Prédiction de l’ingestion chez les ovins par l’analyse SPIR de l’aliment ou des fèces.

Effet d’une levure vivante sur la colonisation microbienne du rumen d’agneau.

Influence d’une supplémentation en orge sur les dépenses énergétiques tissulaires d’agneaux recevant de l’herbe.

Prévision de la digestibilité et de la valeur énergétique de l’ensilage de maïs à partir d’un prélèvement sur fourrage fermenté.

Prédiction de la digestion de l’amidon dans le rumen à partir des données in sacco.

Glucose duodénal et propionate ruminal : comparaison de leurs effets sur la production et la composition du lait.

Etude de l’effet variable de la granulométrie sur les pouvoirs tampon et acidogènes des aliments : cas du pois et du tourteau de colza. Comparaison des méthodes.

Influence de la teneur en amidon et en peptides de la ration sur la synthèse de biomasse et de protéines par les microbes du rumen in vitro.

Intérêt de la méthode du gaz-test pour l’étude des paramètres fermentaires induits par 24 matières premières destinées à l’alimentation du ruminant.

Cinétique de la dégradabilité ruminale de l’azote de l’herbe verte mesurée par vidages de rumen.